mercredi 31 décembre 2014

Rétrospective 2014


Bonjour chers amis,

L'année 2014 fut la première de l'association. Nous nous sommes permis donc de mettre un petit coup de rétro et faire le bilan.

Nous sommes heureux de vous compter parmi tous les citoyens ayant fait le choix de ne pas être en accord avec ce que propose notre gouvernement nous menant droit dans le mur.

Continuons à choisir un avenir meilleur, à dire non à l'huile de palme, et à faire entendre nos voix pour les valeurs qui nous tiennent à cœur : amour, humanité, nature et respect, vous en avez certainement d'autres !

Voici ci joint la newsletter "rétrospective 2014" et surtout bonne lecture.

Laurence et Perrine


A l'année prochaine !




mercredi 24 décembre 2014

15 activistes qui ont marqué 2014

Ils sont nombreux en Afrique à défendre les droits de l'homme. Lutte contre la torture, soutien aux prisonniers, droit à la terre... "Jeune Afrique" a sélectionné quinze activistes qui ont marqué l'année 2014 sur le continent.

Nasako Besingi et son ONG Struggle to Economise Future Environment (SEFE) luttent pour protéger les droits de la population et pour préserver les forêts du sud-ouest du Cameroun. Soumis à des menaces, des procès et des arrestations, il a notamment été poursuivi en diffamation en septembre 2014 par la société américaine Herakles Farms, spécialisée dans l'huile de palme. (DR)

Voir le diaporama Hommage : quinze défenseurs des droits de l'hommes qui ont marqué l'année 2014.




mercredi 17 décembre 2014

Nouvel Étiquetage ! Ne jetez pas vos loupes !

Le règlement (UE) n°1169/2011, dit Règlement INCO, qui concerne l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires est entrée en vigueur le 13 décembre 2014. Il renforce le droit à l'information du consommateur en matière d'achat alimentaire, exclusivement. 

La marchandise d'ores et déjà en stock ne répondant pas aux exigences du règlement pourra être écoulée jusqu'à épuisement des stocks, et ce jusqu'au 13 décembre 2016.

Ce règlement impose notamment une information spécifique du consommateur concernant l’origine végétale des huiles et graisses raffinées présentes dans les denrées alimentaires qui lui sont proposées. 

Pour autant, le règlement reste décrié par les associations de consommateurs. Parmi les critiques formulées par ces associations la taille des caractères : au lieu des 3 millimètres de taille de police prévus, la taille des mentions obligatoires est fixée à 1,2 millimètre. Ne jetez pas vos loupes les amis !

Le lobbying des fabricants de produits alimentaires a une nouvelle fois minimisé la victoire du consommateur ...



samedi 13 décembre 2014

Mention "huile de palme" obligatoire !

Le Règlement INCO n° 1169/2011 du Parlement et du Conseil de l'Europe du 25 octobre 2011 relatif à l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires est entrée aujourd'hui, samedi 13 décembre 2014, en vigueur sur le territoire français.

A compter de ce jour, les producteurs de denrées alimentaires devront indiquer sur l'emballage de leurs produits toute huile végétale entrant dans leur fabrication.

Si les huiles raffinées d’origine végétale pourront être regroupées dans la liste des ingrédients sous la désignation “huiles végétales”, leur nom devra être immédiatement suivi de celui du végétal dont elles sont tirées (par exemple, huile de palme).

Pour mémoire, ce règlement vise à renforcer le droit à l'information du consommateur afin que celui-ci puisse décider de ses achats en connaissance de cause, notamment éthique. C'est pourquoi l'Europe impose que soient énumérées avec précision les huiles végétales présentes quelque soit leur quantité.


lundi 1 décembre 2014

Déclaration internationale contre la Table Ronde sur l'huile de palme durable (RSPO)

 "En défense des Droits des l'homme, de la souveraineté alimentaire,
 de la bio-diversité et de la Justice Climatique"

Extrait : 

Dans le cas de la Colombie, l'expansion du plamier à huile est liée à de graves violations des droits de l'homme. Des ONG internationales ont dénoncés 113 assassinats dans le bassin fluvial de Curvaradó et Jiguamiandó, dans la région du Choco, perpétrés par de paramilitaires qui travaillent avec des entreprises de palmiculture cherchant à s'emparer de terres qui appartiennent légalement à des Communautés afrocolombianas. Les groupes paramilitaires opèrent avec l'appui de la Brigade 17 de l'Armée colombienne et sont responsables de 13 déplacements forcés. La stratégie paramilitaire développée en complicité avec l'Armée colombienne inclut des blocus économiques, des meurtres sélectifs, des massacres et la torture. Malgré les preuves de l'illégalité de l'établissement des palmeraies (comme il a été reconnu par le bureau du « Fiscal Général » et du Défenseur du Peuple de la Colombie ; la Commission Interaméricaine Droits Humains, etc.) le gouvernement colombien n'a pris aucune mesure effective pour prévenir cette situation et pour restituer les terres usurpées aux Communautés afro-colombiennes. Lire la déclaration complète.